Le conseiller général socialiste sortant, Christophe Martin, est réélu avec 61,40% des voix devant Marie José Espiaube (PC) qui obtient 38,6% des suffrages
La campagne des cantonales dans les Pyrénées Atlantiques
Une petite délégation de notre groupe est allée prêter main forte aux camarades qui sont en campagne pour le deuxième tour des élections cantonales dans les Pyrénées Atlantiques.
Dans le canton voisin de Bayonne nord, Christophe Martin, largement en tête au premier tour, doit affronter la candidate du front de gauche, par ailleurs Maire de Boucau, qui a refusé de se désister en sa faveur. Cas unique en France !!!! Cette situation sera plus préjudiciable pour son auteur que bénéfique. Nous n’épiloguerons donc pas sur cette histoire.
L e PS de Boucau profitait de la venue de Benoit Hamon , porte parole du Parti Socialiste, pour inaugurer leur local remis à neuf.
C’est dans une ambiance chaleureuse et bon enfant que la pancarte du local a été dévoilée .
La soirée s'est poursuivie par un meeting à la maison des associations à Bayonne en présence d'Alain ROUSSET président du Conseil Régional Aquitaine et des candidats aux cantonales pour le Pays Basque.
A cette occasion Alain ROUSSET a fermement démenti que la région souhaitait le passage des wagons de nitrate. Pour Mr ROUSSET la sécurité devant primer avant-tout il est fortement opposé à ce projet). Il a précisé que la décision PRISE incombait à l'ancien préfet et que ses services n'ont été informé de ce projet que tardivement et mis devant le fait accompli.
Un peu plus tard Benoit Hamon est revenu sur le contexte national et a rappelé que la gauche avait une chance unique de faire basculer pour la première fois de son histoire, ce département.
Au soir du deuxième tour, nous en sommes persuadés, les Pyrénées Atlantiques auront une majorité de gauche!
Lundi 14 mars, le président du Conseil général Henri Emmanuelli, était sur notre commune et plus précisément sur la zone industrialo-portuaire. La presse régionale s’en est fait largement l’écho. Nous aurions aimé reprendre cette information mais visiblement le conseiller général du seignanx n’a pas daigné inviter les élus socialistes tarnosiens notamment les deux adjoints socialistes référents de Tarnos : Jean Claude Hiquet, adjoint au développement économique et Marie Ange Delavenne, adjointe à l’urbanisme. Il a su pourtant les trouver les élus socialistes lorsqu'il en a eu besoin !! Seule l'adjointe à l'éducation a eu la chance d'y être conviée.
Depuis le temps que nous attendions une position franche du conseiller de notre canton ! Quant à la réception qui suivait cette visite nous n'en parlerons même pas. Bref, le conseiller général snobe les élus socialistes de Tarnos. A BON ENTENDEUR.........
Mardi 8 Mars 2011
Vote sur la répartition de la DGH
6 voix pour : Administration du collège
10 Abstentions : Profs (6 voix), Elèves (2 voix), Elue représentant la commune (1 voix), Elu représentant le Conseil Général (1 voix)
6 Voix contre : les parents d'élèves
Grâce à ce vote équilibré et sans doute à la prépondérance du vote de la présidente du conseil d’administration, la répartition a été adoptée.
On pourra regretter que le conseiller général du Seignanx et l'adjointe à l'éducation, n'aient pas suivi le vote des parents. En effet, cette répartition entérine une précarisation des personnels enseignants car les postes des titulaires ne sont pas créés et on fera appel comme cette année à des vacataires et à des contractuels que l’on jette après usage. L’enseignant kleenex !! Cet état de fait est directement lié à la politique du gouvernement qui en ne remplaçant pas un départ à la retraite sur deux, détruit le service de l’éducation et ce sont les enfants qui en paieront les conséquences.
Manifester contre la politique du gouvernement c’est bien, voter contre une répartition qui est une conséquence directe de cette politique, c’est mieux !!
Le Conseil Général agit pour vous et avec vous
Soutenir l'activité et l'emploi
Nous le ferons
▪Créer « Domololandes », une pépinière d'entreprises et un pôle de rssources dans le secteur de la construction durable
▪Etudier avec la Région la mise en place d'un fond d'actrativité pour l'accueil de projets industriels innovants
▪Créer un schéma départemental des zones d'activité
▪Soutenir l'économie sociale et solidaire par une aide spécifique aux coopératives création d'emplois
▪Développer des marchés d'insertion sur de nouvelles activités
▪Inscrire la clause d'insertion dans chaque appel d'offres important de la collectivité
Plus de 10 ME d'aides
à l'industrialisation
et à l'artisanat pour 2010
Nous l'avons déjà fait
▪La création du parc d'activités Atlantisud à vocation logistique, industrielle et commerciale
▪Le soutien aux acteurs de la filière bois et aux collectivités après la tempête Klaus
▪La participation au campus technologique Héliléo de Dax, dédié au futur système européen de positionnement par satellite
▪L'adoption d'un schéma départemental de développement du tourisme et du thermalisme
▪La création de la société d'économie mixte « Enerlandes » pour accompagner le développement de la filière des énergies renouvelables
Sud-ouest - Publié le 29/11/2012
Par Marie-Claude Ihuel
Le Conseil municipal de Boucau s'est réuni lundi. à l'heure des questions diverses, les points abordés ont été très riches en informations relatives à l'environnement. Marie-José Espiaube, maire de la commune, a précisé qu'à propos de l'affaire Yara, le référé déposé par les quatre maires a été rejeté et qu'il n'y aurait pas de pourvoi en cassation.
Mme le maire a ensuite évoqué le projet d'un industriel néerlandais. Celui-ci a candidaté pour l'installation d'une usine de méthanisation de lisier de porc et déchets végétaux transportés par bateaux jusqu'aux quais de Bayonne-Tarnos.
Une délégation aux Pays-Bas
Les conseillers municipaux ont appris qu'une délégation avec les quatre maires concernés (Bayonne, Boucau, Anglet, Tarnos) et des techniciens de l'Agglo, doit se rendre aux Pays-Bas, le 19 décembre prochain, afin de se rendre compte sur place de ce qu'est une usine de ce type.
Selon Christophe Martin (majorité municipale), s'interroger sur le devenir du port et y prévoir une usine de bio-méthanisation posent question, indépendamment du bilan carbone de l'opération : « On ne peut être l'agglomération qui accepte tout ce dont les autres ne veulent pas sur la côte Atlantique. » Jean Dubourdieu (majorité municipale) lui a rappelé qu'une réflexion sur l'aménagement global du port est en cours, sous la direction du conseiller régional PS, Mathieu Bergé, en charge du dossier.
Trois enquêtes en coursMarie-Ange Thébaud (Boucau Convivial) est intervenue afin de préciser qu'il faudrait plutôt des implantations industrielles nouvelles avec des technologies tournées vers l'avenir, Albert Maton (Union et Renouveau) ajoutant qu'on doit avoir toutes garanties avant de se prononcer.
Josette Duhart, adjointe à l'environnement, a rappelé que dans l'immédiat, trois enquêtes publiques sont en cours : l'une sur le Plan de prévention des risques technologiques autour de LBC ; l'autre sur la demande d'autorisation de LBC de créer un stockage de bitume à Tarnos (1) ; la dernière sur l'élaboration du plan de protection de l'atmosphère de l'agglomération de Bayonne.
(1) Pour ces deux enquêtes, les dossiers sont consultables en mairie.
Publié le 26/11/2012 - Sud ouest
Par audrey ludwig
Le Parti socialiste vient d'exclure quatre membres du Conseil municipal de Tarnos. La suite de près de deux ans de conflits. Les « exclus » disent qu'ils font appel.
L'UMP n'a pas le monopole des psychodrames politiques même s'il est difficile de rivaliser avec le scénario en cours. Le Parti socialiste landais vient d'exclure quatre de ses membres, de la section de Tarnos. Il s'agit de Thierry Cazaurang, Marie-Ange Delavenne, Angélique Grandener et Antoine Roblès, conseillers municipaux de Tarnos, élus en 2008 sur la liste d'union de gauche, derrière le maire communiste Jean-Marc Lespade.
Cette mesure rare ponctue une crise qui dure depuis presque deux ans, à la fois au sein du Conseil municipal et à la section socialiste de Tarnos. Les relations tendues entre ce groupe - auquel il faudrait ajouter aujourd'hui M. Marciano qui avait rendu sa carte au PS - et la majorité du Conseil municipal, ne sont un secret pour personne. Pour le Parti socialiste, la situation n'était plus tenable. « Nous avons toujours privilégié l'union de la gauche, expliquait vendredi soir Renaud Lagrave, premier secrétaire fédéral du PS landais. Malgré nos débats ou désaccords avec le Front de gauche, nous avons toujours un accord politique et il faut qu'il soit respecté partout et à Tarnos aussi. J'ai passé plusieurs mois, voire des années, à essayer de ne pas arriver à ce moment-là mais à la fin, il faut trancher. Par leurs positions, leurs votes au Conseil municipal, leurs déclarations dans la presse, sur les sites Internet, ce groupe a fait un choix politique de renversement d'alliance. Aujourd'hui, ils doivent en tirer les conséquences. Ils ne peuvent plus se revendiquer et s'exprimer au nom du PS. »
Pour Marie-Ange Delavenne, l'analyse est différente. « On est toujours au PS ! Car nous avons fait appel de la décision de la commission fédérale des conflits des Landes dans les délais prévus. Cet appel au national est suspensif comme le prévoient les statuts de notre parti. » Pourtant, vendredi soir, Renaud Lagrave n'avait pas cette information en sa possession : « Avec le dernier congrès du parti, il y a peut-être des retards mais même si c'est le cas, cela ne change en rien notre décision et dans l'application. »
Autre appel
Les quatre personnes exclues ne veulent pas en rester là. Ils affirment, par la voix de Marie-Ange Delavenne, avoir également saisi la commission nationale des élections et la commission des conflits des Landes au sujet de l'élection du secrétaire de section de Tarnos, le 15 novembre. Cette élection, selon Marie-Ange Delavenne, ne se serait pas passée dans les règles. « Du fait de cette suspension, nous avions parfaitement le droit de nous présenter à l'élection du poste de secrétaire de section de Tarnos, mais ma candidature a été écartée par la secrétaire de section (Isabelle Dufau, NDLR) en toute illégalité. De même, mon l'élection au bureau au titre de la motion 3 a été écartée et remplacée par un représentant de la motion 1. »
Voilà le parti au cœur d'un probable imbroglio juridique, suite logique d'une crise larvée depuis presque deux ans. « Le responsable de tout cela, c'est surtout Jean-Marc Lespade, poursuit Marie-Ange Delavenne. Le contrat a été rompu en mai 2011, lorsqu'on nous a retiré nos délégations (et du groupe majoritaire, NDLR) au Conseil municipal, mais aussi à la communauté de communes. » Les différentes parties s'accordent à dire que ce clash a attisé les braises d'un feu qui ne demandait qu'à s'allumer.
Isabelle Dufau, l'une des instigatrices de leur éviction et adjointe à l'éducation de Tarnos, avance pour sa part : « Le plus important est qu'ils ne peuvent plus parler au nom du PS car leur position n'est pas une position partagée, travaillée en amont avec le groupe. »
Le prochain Conseil municipal s'annonce encore plus tendu qu'à l'habitude…
http://www.sudouest.fr/2012/11/26/ps-quatre-exclus-a-tarnos-889985-710.php#commentaire_marqueur_position
Chiffres à l'appui, trois associations environnementales pointent du doigt le faible trafic
Les associations environnementales ajustent une nouvelle fois l’autoroute A65 Langon – Pau dans leur ligne de mire. Un communiqué signé de la Sepanso, d’Aquitaine Alternatives et de la fédération France Nature Environnement appuie sur le fait que « le trafic de cette autoroute, nettement inférieur aux prévisions à l’issue de la première année d’exploitation, est insuffisant pour en assurer l’équilibre financier ».
Pourquoi cette sortie aujourd’hui sur les chiffres 2011, la première année pleine de cette infrastructure de 150 km inaugurée le 15 décembre 2010 ? Elle fait suite à la transmission par A’lienor – le concessionnaire de l’autoroute – du « rapport annuel de la concession aux collectivités territoriales 2011».
Ce document a été récemment remis aux élus du Conseil régional d’Aquitaine. La Sepanso se l’est procuré, l’a épluché et a comparé les chiffres au prévisionnel intégré aux annexes du décret de concession. « Il y a un devoir de retour de ces informations vers le citoyen. Il s’agit de vérifier si le discours tenu à l’époque était un discours de vérité ou pas », explique Daniel Delestre, le vice-président de la Sepanso.
Selon l’association, le trafic journalier moyen s’est établi à 5332 véhicules par jour en 2011, dont 5,9% de poids lourds. « Il est inférieur d’environ 40% par rapport à l’objectif initial de 7660 véhicules/jour, dont 12% de poids lourds », écrit la Sepanso. Au printemps, A’lienor avait communiqué un chiffre à peu près similaire (5600 véhicules/jour) mais avait indiqué qu’il n’était inférieur que de 25% aux prévisions. « Nous nous en tenons aux documents », justifie Daniel Delestre.
L’association pointe aussi du doigt « un déficit énorme de la concession, d’environ 35 millions d’euros, par ailleurs égal au chiffre d’affaires ». Elle se réfère pour ce faire aux éléments financiers mis en ligne qui font apparaître un résultat courant avant impôts de -34,9 millions d’euros en 2011. Nous n’avons pu confirmer ce soir ces chiffres auprès d’A’lienor.
Sud-ouest 7/11/2012