Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 mars 2014 7 02 /03 /mars /2014 22:43

FAUT-PAS-QUE-SARKOMENCE.jpg

Partager cet article
Repost0
6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 13:26


Année 2012, année de la gauche ?

Ouf !!!

Voilà  ce qu’auront pensé beaucoup de Français et de Tarnosiens en entrant dans la nouvelle année. Une année 2011, au cours de laquelle le mot crise a pris toute son ampleur. Les fins de mois difficiles, l’angoisse du chômage, bien des raisons de tirer un trait sur 2011.

Alors espérons que l’année 2012 soit meilleure !! Espérons que cette année le Maire de Tarnos et les élus communistes ferons passer l'intérêt des tarnosiens avant leur propre intérêt. Mais nous saurons rester vigilant, même doublement vigilant, connaissant maintenant l'autoritarisme et la fourberie du Maire et de son groupe communiste. (Et de certains socialistes ??)

Le groupe des élus de gauche vous souhaitent une bonne et heureuse année 2012.

Et, pour notre part un seul souhait : la victoire de la gauche en 2012 avec le seul candidat présidentiable de gauche : François Hollande

François Hollande : L'intégralité de son discours à Mérignac est à découvrir par ici :
francoishollande.fr
 
Mercredi 4 janvier, François Hollande était à Mérignac pour son premier grand meeting de campagne. Il a réaffirmé les thèmes forts de sa campagne, jeunesse, justice sociale et justice fiscale.

http://francoishollande.fr//

 

http://www.facebook.com/francoishollande.fr

Partager cet article
Repost0
10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 14:28
C'est pas démocratique ça ??  Attention on rit mais on ne se moque pas !!!
PCF: Pierre Laurent réélu secrétaire national du parti avec 100% des voix
10 février 2013 à 13:36
Pierre Laurent le 8 février 2013 au congrès du PCF à Saint-Denis
Pierre Laurent le 8 février 2013 au congrès du PCF à Saint-Denis (Photo Mehdi Fedouach. AFP)

Pierre Laurent, 55 ans, a été réélu dimanche à son poste de secrétaire national du Parti communiste français avec 100% des suffrages exprimés, lors du 36e congrès du PCF.

 

Pierre Laurent a obtenu 100% des 624 votes exprimés (92 blancs et nuls) sur les 716 votants au 36e congrès du PCF qui se tenait depuis jeudi à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Pour "la première fois depuis longtemps", selon les organisateurs, aucune liste alternative ne s'est présentée face à celle de Pierre Laurent.

Fils de Paul Laurent, figure du PCF, Pierre Laurent avait été élu à son poste en 2010 pour succéder à Marie-George Buffet.

 

Discret, le secrétaire national du PCF s'est fait peu à peu sa place médiatique en parallèle de Jean-Luc Mélenchon, coprésident du Parti de gauche et désigné candidat à la présidentielle de 2012 par le Front de gauche.

 

Son entrée au Sénat en septembre, a permis à Pierre Laurent de prendre davantage d'envergure, menant la fronde "contre les politiques d'austérité".

 

Caillou dans la chaussure du Parti socialiste qui mise sur une division du FG, l'ancien directeur de l'Humanité entend continuer "le renouveau du Parti communiste".


Fier d'un "congrès rassembleur, combatif", Pierre Laurent rappelle aux socialistes que "personne n'a intérêt à mépriser cette force de gauche".

 

"Nous ne sommes pas cantonnés dans l'opposition, nous sommes une force en mouvement", a lancé le secrétaire national lors de son discours de clôture. Pierre Laurent va désormais devoir s'atteler aux élections municipales et européennes de 2014.

Partager cet article
Repost0
10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 06:46

- Publié le 09/02/20

Le président PS de l'Assemblée nationale Claude Bartolone met en garde le PCF en déclarant que les communistes ne pourront pas "demander" les voix des socialistes s'ils n'ont comme "seul objectif d'affaiblir le président de la République et le gouvernement", dans un entretien dimanche au Parisien.

 

 

Le président PS de l'Assemblée nationale Claude Bartolone met en garde le PCF en déclarant que les communistes ne pourront pas "demander" les voix des socialistes s'ils n'ont comme "seul objectif d'affaiblir le président de la République et le gouvernement", dans un entretien dimanche au Parisien.

 

Le président PS de l'Assemblée nationale Claude Bartolone met en garde le PCF en déclarant que les communistes ne pourront pas "demander" les voix des socialistes s'ils n'ont comme "seul objectif d'affaiblir le président de la République et le gouvernement", dans un entretien dimanche au Parisien.

"Je suis partisan du rassemblement, mais dans la clarté. Je ne crois pas aux additions de suffrages ou aux unions à la carte. Pour qu'il y ait accord électoral dans une ville, il faut que les partis qui le signent partagent l'essentiel du projet de société", explique le député de Seine-Saint-Denis.

"C'est au PCF de choisir: on ne pourra pas venir demander les voix des socialistes pour maintenir des municipalités communistes tout en ayant comme seul objectif d'affaiblir le président de la République et le gouvernement", ajoute-t-il, alors que le congrès du PCF doit se terminer dimanche.

 

A l'issue d'élections cantonales, Claude Bartolone avait pris en 2008 la présidence du conseil général de Seine-Saint-Denis, longtemps chasse gardée des communistes.

 

Aujourd'hui, le PCF dirige 28 villes de plus de 30.000 habitants et 50 villes de 10.000 à 30.000 habitants, le plus souvent grâce à des alliances avec le PS.

Click here to find out more!

Partager cet article
Repost0
7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 12:31
Au niveau local comme au niveau national, le front de gauche est la première opposition au gouvernement socialiste.
Les deux adjoints socialistes continuent à soutenir le maire communiste de Tarnos dans ses actions anti-gouvernement comme l'appositon de la banderole sur la facade de la mairie ou la pétition lancée par le maire.
"Quelques compléments concernant la campagne de mobilisation " Ma commune, j'y tiens. Exigeons les moyens"
Oui, nous tenons à notre commune! ...Mais nous tenons également à notre communauté de communes, à notre département, ... Qui doivent exister et se développer dans  un esprit de solidarité et en respectant le principe de subsidiarité.

 Oui, nous voulons des moyens importants pour développer les services publics de proximité! ... Mais en évitant les doublons, en recherchant les économies, en mobilisant tous les leviers: État bien sûr, mais également les autres échelons dont l'Europe, la Région...

Oui, nous soutenons les réformes en cours qui à terme devraient permettre le redressement des comptes publics et une meilleure répartition des ressources.
C'est forts de ces rajouts que la banderole " Ma commune, j'y tiens. Exigeons les moyens" prend toute sa dimension d'exigence, sans aucun esprit de polémique et d'attaque stérile."

 

"Dixit Madame Isabelle Dufau serétaire de section et adjointe à l'éducation (socialiste) et M. Jean-claude Hiquet adjoint sociaiste au développement économique."

 


Pourquoi une telle position ? pour une place aux prochaines municipales ? Les 2 adjoints socialistes seraient-ils des arrivistes ?
Jean-Luc Mélenchon :"Hollande laisse faire le pillage du pays"

Jean-Luc Mélenchon :

Le patron du parti de gauche, qui se prépare déjà à la campagne européenne de 2014, dénonce la complicité de la gauche au pouvoir avec le grand capital.

Ce jour-là, il grêle sur Paris. Jean-Luc Mélenchon revient d’Italie où il est allé soutenir « des camarades ». La fatigue se lit sur son visage mais, dès la première question, ses mains s’animent. Jean-Luc Mélenchon vit ce qu’il dit, comme toujours, et ne s’arrête plus. La nuit tombe, il est encore là.

VSD. Valérie Trierweiler qui assiste, assise entre Bernard Arnault et Charlène de Monaco, au défilé Dior, ça vous choque ?

Jean-Luc Mélenchon. Elle fait le job qui est le sien : de la représentation. Ce qui me choque beaucoup plus, c’est que son compagnon ne fasse rien pour rattraper les fuyards du fisc, pour taxer le capital comme le travail et néanmoins essaie de faire croire qu’il l’a fait.

VSD. Cette image ne trahit-elle pas une complicité gênante pour la compagne d’un président de gauche ?

J.-L. M. C’est la caractéristique des veilles de grands chambardements. Il y a deux mondes qui s’ignorent : le monde des puissants, des riches, des importants. La cour brillante, pimpante, vivant des artifices, persuadée, d’une manière totalement aveugle, de ses bonnes raisons et de l’autre côté une masse immense qui n’est pas toujours capable d’exprimer sa colère.

VSD. François Hollande voulait réconcilier les Français. Avez-vous l’impression qu’il est en train d’y parvenir ?

J.-L. M. Non et je crois qu’il n’a pas du tout l’intention de se préoccuper de tout ça. Il va continuer à mettre la France au niveau des pays anglo-saxons grâce à toujours plus de flexibilité.

VSD. Il est, au moins, en train de réconcilier la gauche avec le grand capital ?

J.-L. M. Non, il laisse faire le pillage du pays. Sanofi annonce que les dividendes vont passer de 35 % à 50 % et des milliers de licenciements boursiers : il ne dit rien. Renault saccage l’entreprise ? L’État, qui possède 15 % du capital, accepte la négociation revolver sur la tempe alors que la seule chose à faire avec Carlos Ghosn, c’est de le remplacer. Dehors ! Mittal, c’est pareil, c’est un tigre de papier. On aurait pu l’amener comme un toutou à la table des négociations. La solution Montebourg était excellente, c’était le seul moyen d’obtenir un résultat ! Mais Jean-Marc Ayrault a préféré laisser à Mittal sa machine à faire du cash. Ça lui a rapporté beaucoup d’argent de fermer Florange, il peut désormais vendre ses droits à polluer et, en plus, il va toucher le crédit d’impôt compétitivité.

VSD. L’État n’est-il pas pieds et poings liés par ces grands patrons qui créent de l’emploi ? Lakshmi Mittal représente vingt mille emplois en France.

J.-L. M. Mais ce n’est pas Mittal qui les a créés. Mittal est arrivé par une OPA hostile, personne ne voulait de lui ni en France ni en Europe. Il n’a pas créé d’emplois, il en a détruit. Il n’a pas créé d’aciéries, il en a fermé. Les aciéries existaient avant, elles avaient été nationalisées. Les Français ont mis 60 milliards de francs pour recapitaliser la sidérurgie française. C’est parce qu’on a privatisé que Mittal est arrivé.

VSD. Les syndicalistes de Florange ont été reçus récemment à l’Élysée.

J.-L. M. Je les ai vus après, ils étaient profondément humiliés, très tristes. Ils ont été reçus par un conseiller qui leur a dit : « Vous vous rendez compte, vous êtes reçus à l’Élysée. » Ça les a vexés, ils se sont dit : nous ne sommes pas des manants qui ont l’honneur d’être reçus au château. C’est une gauche très spéciale qui est au pouvoir, une gauche qui n’est pas impliquée dans le monde du travail, qui ne le connaît pas, qui ne discute pas avec des syndicalistes. Elle ne s’intéresse à une production que lorsqu’il y a une crise. Ces gens ne savent pas qu’une entre prise est un collectif et une production. Ils ne pensent que rentabilité, profi tabilité. Ils acceptent les valeurs dominantes du monde dans lequel ils vivent, des gens avec lesquels ils déjeunent mais la production elle-même ne les intéresse pas.

Lire l'intégralité de l'interview dans VSD 1850 (du 7 au 13 février 2013)  

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 08:34

Face aux critiques et à la menace brandie par le PS de refuser de faire alliance aux municipales, les amis de Jean-Luc Mélenchon préfèrent bomber le torse.

 

La tension entre le PS et le Front de gauche n'est pas près de retomber. Après avoir longtemps joué l'apaisement, les socialistes haussaient le ton la semaine dernière face à un Jean-Luc Mélenchon devenu trop turbulent. Le sénateur Luc Carvounas, secrétaire national du PS aux relations extérieures, est même allé jusqu'à menacer de renoncer à des listes communes aux municipales si le PC ne "clarifiait" pas sa position dans la majorité. But de la manoeuvre : exciter les divisions au sein du Front de gauche à quelques jours du congrès du PCF et engager un rapport de force dans la perspective de la constitution des listes des municipales. Pas de quoi visiblement intimider les cadres du Front de gauche, qui dénoncent une manipulation du "grand frère" de la rue de Solférino. "La ficelle est grosse : il y a aurait le gentil PC et le méchant Mélenchon. Mais les attaques du PS, au lieu de nous diviser, renforcent l'homogénéité du Front de gauche", tente ainsi de se rassurer Éric Coquerel, secrétaire national du Parti de gauche. "Le PS a une stratégie de père Fouettard", s'agace quant à lui Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF. "Mais à aucun moment ils ne prennent en compte les quatre millions de voix du Front de gauche ni n'interrogent le durcissement de leur orientation sociale libérale", critique l'élu de Pau. Des maires PC soucieux de leurs rapports avec le PS Un des principaux points de friction du Front de gauche avec le PS concerne les municipales de 2014.

 

Le PC dirige aujourd'hui une quarantaine de villes de plus de 20 000 habitants, dont les élus contribuent dans une part importante au financement du parti. La plupart des bastions communistes ont été conquis sur des listes d'union de la gauche, les maires PC sont donc soucieux de leurs rapports avec la rue de Solférino. Même si, aujourd'hui, certains prétendants communistes aux prochaines élections considèrent que l'impopularité du gouvernement pourrait faire gonfler le score de listes indépendantes du PS. "Les socialistes, fébriles, tentent de montrer les muscles. Mais en réalité ce sont eux qui auront besoin du Front de gauche pour les municipales", veut ainsi croire Ian Brossat, chef de file des communistes parisiens. La question des alliances du Front de gauche avec le PS devrait être au coeur des discussions du congrès du PCF, qui débute le 7 février prochain.

 

Le point.fr - 30/01/2013

Partager cet article
Repost0