Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 juin 2017 5 09 /06 /juin /2017 08:20


Le gymnase à côté du Lycée ne se fera pas !!! Martine Hontabat notre conseillère régionale a demandé une rencontre à Mr le Maire afin d'être éclairée sur sa position à savoir s'il donnait suite à sa demande de  subvention du 11 Juin 2007 concernant le gymnase du Lycée.

Mr LESPADE lui a clairement exprimé sa volonté de ne pas construire le gymnase à côté du Lycée. Il souhaiterait faire un équipement sportif de "PRESTIGE" dans un autre Lieu.

Par courrier adressé à Mr ROUSSET président du Conseil Régional d'Aquitaine le 18 mai 2009, Mr LESPADE précise que la municipalité était prête à consentir pour la réalisation du projet un montant de 750 000 Euros soit la moitié du montant d'un équipement basique évalué à 1 500 000 Euros.

Le Conseil Régional subventionnant à hauteur de 586 000 Euros, Mr le Maire informe qu'il ne pourra pas s'engager financièrement au delà de la proposition faite par la municipalité pour la construction d'un tel équipement et qu'il ne peut garantir pour les années à venir la mise à disposition à titre gratuit de plusieurs équipements sportifs municipaux au Lycée A. Croizat tel que cela se fait actuellement !!! Il a fallu attendre 2 ans pour avoir cette réponse négative, dommage, 
"le petit gymnase perso" du lycée aurait pû être au programme du Conseil régional bien plus tôt !!!

Marie-ange DELAVENNE

Partager cet article
Repost0
1 juin 2017 4 01 /06 /juin /2017 19:06

 

 

Le lundi 25 mai 2009, les socialistes, suivis par l’opposition ont quitté le conseil municipal en début de séance. Nous protestions contre le manque de démocratie du maire, quand il s’agit de la communauté des communes. En effet il n’a pas voulu mettre à l’ordre du jour, le programme de la communauté avant le 25 mai, à 2 jours du vote définitif de ce programme, alors qu’il lui avait été transmis depuis le 14/01/2009. D’ailleurs les autres maires du canton l’avaient fait. De plus avant même le débat prévu, une motion très agressive vis-à-vis de la communauté des communes était présentée par les élus communistes et républicains. La défaite des communistes aux élections cantonales et à la présidence de la communauté des communes est la seule explication à cette attitude, malheureusement elle a pour conséquence une tentative de blocage des instances communautaires, ce qui peut être préjudiciable pour les Tarnosiens. Nous mettons donc en garde la population contre les réunions publiques prévues par le Maire, elles seront partiales et dirigées.

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
26 mai 2017 5 26 /05 /mai /2017 21:43

http://alaindarras.blogsudouest.com/files/2009/05/cm-014-affichage-web-grand-format.jpg
Rien ne va plus entre les élus “Communiste et Républicain” et les élus “Socialiste” au sein de la majorité municipale. l’objet de la discorde, une motion présentée à l’initiative du maire et du groupe Communiste & Républicain à propos du programme communautaire pour la période 2008-2014 qui doit être validé par le dit Conseil ce mercredi 27 mai à la villa Clairbois à Saint Martin de Seignanx.

Jean-marc Lespade dans son intervention précise qu’il y a une absence de consensus avéré sur ledit projet, que l’on est dans la précipitation de la procédure, imposée par la Communauté de Communes, cela révèle une absence de considération des élus et un déni de démocratie. Pour lui “ce programme n’a pas été mis en débat avec les principaux concernés, les habitants du Seignanx… nombreux sont ceux qui pensent qu’il est urgent d’attendre que soient levées les incertitudes sur le devenir de la taxe professionnelle”. Il affirme que l’on est “bien loin de la pratique consensuelle qui a présidé jusqu’ici aux relations intercommunales dans le Seignanx”, ce programme communautaire apparaissant “comme un diktat qui s’imposerait, sans concertation et sans accord entre les élus des communes concernées.” motion-du-groupecommunistes-r.PDF

Le groupe socialiste, par l’intermédiaire d’Elie Marciano, son rapporteur, quant à lui, reproche au premier magistrat de Tarnos de n’avoir pas présenté aux élus tarnosiens le projet de programme communautaire qui lui avait été adressé en date du 14 janvier 2009. “Que pensez de l’attitude de Jean-Marc Lespade qui après avoir réclamé la rédaction d’un projet ne veut pas participer à son élaboration et conteste systématiquement chaque décision ou proposition” fustige t-il. Il affirme haut et fort que “oui, il y a déni démocratique quand on refuse le verdict des urnes, en mars 2008 les électeurs du Seignanx se sont prononcés … et ce résultat doit s’imposer à tous”.declaration-groupe-socialiste.PDF

Suite à cette déclaration les élus socialistes, dont les 3 adjoints au maire, quittent la salle du conseil, sauf Jean-Claude Hiquet (PS-Désirs d’avenir) qui souhaite faire une déclaration, à titre personnel où il déplore la motion du maire, qu’il juge “inopportune” et donc il ne participera pas au débat sur le sujet, mais il reconnaît que l’on n’a pas été bon collectivement, au niveau de la démocratie , depuis 1 an et qu’il ne faut pas en rajouter à la tension. Après son intervention il quitte la salle du conseil qu’il réintégrera par la suite pour la suite de l’ordre du jour. declaration-j-c-hiquet.PDF

Le groupe Horizon Libre, par l’intermédiaire de Gérard Claverie, déclare sa surprise devant la motion du maire et sur les termes “manque de considération des élus et deni de démocratie” cela le fait sourire quand l’opposition à Tarnos est souvent écartée de toutes décisions et notamment de représentativité au sein de la Communauté de communes, de ce fait les élus de l’opposition quittent la salle et refusent de participer au débat, il reviendront pour les 10 points à l’ordre du jour.

La suite de l’ordre du jour, relevant de la gestion quotidienne, est traitée, en l’absence des élus socialistes et n’appelle pas de commentaires particuliers.

Il est probable que le conseil communautaire de mercredi risque d’être tendu et l’on peut se poser des questions sur le devenir de la majorité municipale à Tarnos, compte tenu des griefs et ressentiments entre ses différents membres.


(Article blog sud-ouest - Alain Darras)

Partager cet article
Repost0
26 mai 2017 5 26 /05 /mai /2017 21:42

http://alaindarras.blogsudouest.com/files/2009/05/cm-014-affichage-web-grand-format.jpg
Rien ne va plus entre les élus “Communiste et Républicain” et les élus “Socialiste” au sein de la majorité municipale. l’objet de la discorde, une motion présentée à l’initiative du maire et du groupe Communiste & Républicain à propos du programme communautaire pour la période 2008-2014 qui doit être validé par le dit Conseil ce mercredi 27 mai à la villa Clairbois à Saint Martin de Seignanx.

Jean-marc Lespade dans son intervention précise qu’il y a une absence de consensus avéré sur ledit projet, que l’on est dans la précipitation de la procédure, imposée par la Communauté de Communes, cela révèle une absence de considération des élus et un déni de démocratie. Pour lui “ce programme n’a pas été mis en débat avec les principaux concernés, les habitants du Seignanx… nombreux sont ceux qui pensent qu’il est urgent d’attendre que soient levées les incertitudes sur le devenir de la taxe professionnelle”. Il affirme que l’on est “bien loin de la pratique consensuelle qui a présidé jusqu’ici aux relations intercommunales dans le Seignanx”, ce programme communautaire apparaissant “comme un diktat qui s’imposerait, sans concertation et sans accord entre les élus des communes concernées.” motion-du-groupecommunistes-r.PDF

Le groupe socialiste, par l’intermédiaire d’Elie Marciano, son rapporteur, quant à lui, reproche au premier magistrat de Tarnos de n’avoir pas présenté aux élus tarnosiens le projet de programme communautaire qui lui avait été adressé en date du 14 janvier 2009. “Que pensez de l’attitude de Jean-Marc Lespade qui après avoir réclamé la rédaction d’un projet ne veut pas participer à son élaboration et conteste systématiquement chaque décision ou proposition” fustige t-il. Il affirme haut et fort que “oui, il y a déni démocratique quand on refuse le verdict des urnes, en mars 2008 les électeurs du Seignanx se sont prononcés … et ce résultat doit s’imposer à tous”.declaration-groupe-socialiste.PDF

Suite à cette déclaration les élus socialistes, dont les 3 adjoints au maire, quittent la salle du conseil, sauf Jean-Claude Hiquet (PS-Désirs d’avenir) qui souhaite faire une déclaration, à titre personnel où il déplore la motion du maire, qu’il juge “inopportune” et donc il ne participera pas au débat sur le sujet, mais il reconnaît que l’on n’a pas été bon collectivement, au niveau de la démocratie , depuis 1 an et qu’il ne faut pas en rajouter à la tension. Après son intervention il quitte la salle du conseil qu’il réintégrera par la suite pour la suite de l’ordre du jour. declaration-j-c-hiquet.PDF

Le groupe Horizon Libre, par l’intermédiaire de Gérard Claverie, déclare sa surprise devant la motion du maire et sur les termes “manque de considération des élus et deni de démocratie” cela le fait sourire quand l’opposition à Tarnos est souvent écartée de toutes décisions et notamment de représentativité au sein de la Communauté de communes, de ce fait les élus de l’opposition quittent la salle et refusent de participer au débat, il reviendront pour les 10 points à l’ordre du jour.

La suite de l’ordre du jour, relevant de la gestion quotidienne, est traitée, en l’absence des élus socialistes et n’appelle pas de commentaires particuliers.

Il est probable que le conseil communautaire de mercredi risque d’être tendu et l’on peut se poser des questions sur le devenir de la majorité municipale à Tarnos, compte tenu des griefs et ressentiments entre ses différents membres.


(Article blog sud-ouest - Alain Darras)

Partager cet article
Repost0
25 mai 2017 4 25 /05 /mai /2017 23:13


Le groupe communiste et républicain a proposé ce jour en conseil municipal une motion dénoncant l'intercommunalité et un soit disant déni de démocratie. Ils proposaient également un débat
sur le programme communautaire. Débat qui aurait dû avoir lieu depuis le 14 janvier 2009 date à laquelle le Président de la Communauté de commune Jean-Marc LARRE avait chargé de mission les maires du canton afin de présenter aux élus le projet du programme communautaire.



Les élus socialistes estimant qu'en effet il y avait déni de démocratie, mais de la part du Maire qui avait jusqu'à présent refusé de mettre en place ce débat, ont répondu par une déclaration. Après lecture de celle-ci ils ont quitté la séance pour ne pas y revenir et n'ont pas pris part à cette mascarade ne participant ni au vote ni au débat.

Jean-claude Hiquet  adjoint P.S. s'est désolidarisé de la majorité socialiste et a présenté sa propre motion. Il a néanmoins quitté la séance et n'a participé ni au vote ni au débat.

L'opposition quand à elle, était également d'accord sur le déni de démocratie, qui de leur point de vue commence au conseil municipal. Tout comme les socialistes ils ont également quitté la salle et n'ont pas participé au vote ni au débat.

L'adjoint socialiste et l'opposition ont ensuite rejoint le conseil municipal.



TELECHARGER LE PROGRAMME COMMUNAUTAIRE





 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 mars 2017 4 23 /03 /mars /2017 23:29


Sud ouest - Lundi 23 Mars 2009


Réélu dans un fauteuil, Jean-Marc Lespade, qui surfe sur une dynamique industrielle sans précédent, prépare une consultation électorale qui fait déjà grincer

Jean-Marc Lespade : « Nous avons franchi une nouvelle étape. Le projet du laminoir est un symbole. Je défends l'idée d'un développement industriel qui crée de l'emploi et qui soit, en même temps, respectueux de l'environnement. » (photo david le déodic)
Jean-Marc Lespade : « Nous avons franchi une nouvelle étape. Le projet du laminoir est un symbole. Je défends l'idée d'un développement industriel qui crée de l'emploi et qui soit, en même temps, respectueux de l'environnement. » (photo david le déodic)

C'est une quasi-certitude, les électeurs de Tarnos n'auront pas que les Européennes comme rendez-vous politique cette année. Ils devraient en effet se voir proposer une seconde échéance. C'est du moins l'intention de Jean-Marc Lespade, le maire communiste des lieux. Lequel, après avoir été brillamment réélu en mars dernier dès le premier tour sur un score sans appel de 66 % des voix, vient d'initier une réflexion qui n'a pas fini de résonner et de provoquer des crises d'urticaire. Une réflexion qui, non seulement, s'est affranchie des frontières municipales constituant pourtant son pré carré mais qui, surtout, aboutira à rien de moins qu'à un referendum local en bonne et due forme. De quoi s'agit-il ? Depuis plusieurs mois, le maire s'interroge autant qu'il cogite sur la place de Tarnos dans son environnement immédiat.

À ceci près que Jean-Marc Lespade ne raisonne pas en territoires administratifs définis, mais en bassin de vie. Une nuance en apparence infime mais qui pourrait pourtant être à l'origine d'un chambardement majeur : le départ de Tarnos de la Communauté de communes du Seignanx vers une autre agglomération, celle du BAB. Et c'est précisément sur cette hypothèse que Jean-Marc Lespade veut consulter les Tarnosiens. Lesquels devraient être appelés à se prononcer en septembre ou octobre. « Je ne demanderai pas aux Tarnosiens s'ils veulent oui ou non adhérer à la Communauté d'agglomération du BAB, mais plutôt s'ils se sentent orientés vers le BAB, précise-t-il. Aujourd'hui, nous faisons partie de ce bassin de vie. Et il ne faut pas avoir peur du débat. »

La monnaie de la pièce ?

Reste qu'une telle perspective, un départ de Tarnos vers l'agglomération du BAB, porterait un coup assurément très rude, sinon fatal, à la Communauté de communes du Seignanx, dans la mesure où Tarnos est, en matière de finances, la principale contributrice. Une réalité qui est d'ailleurs loin d'être étrangère à la réflexion de Jean-Marc Lespade. « Il faut qu'il y ait une proximité étroite entre l'exécutif de la Communauté de communes et l'exécutif de la commune la plus importante », indique-t-il. Sauf que si, par le passé, Tarnos a eu la présidence de la Communauté de communes du Seignanx, ce n'est plus le cas aujourd'hui. Jean-Marc Lespade a pourtant brigué la présidence l'année dernière, mais en vain. Il a dû s'incliner devant Jean-Marc Larre, le maire socialiste de la toute petite commune de Biaudos. Ceci expliquerait-il cela ? Jean-Marc Lespade chercherait-il à rendre la monnaie de la pièce aux élus du PS en leur proposant de se débrouiller entre eux et surtout sans les recettes de Tarnos ? « Ça ne tient pas la route, dit-il. Je me place dans l'intérêt des habitants. Ce qui m'intéresse, c'est de faire en sorte que Tarnos ait le meilleur développement possible. Et je revendique le droit de m'interroger. »

100 emplois à venir

Reste qu'en matière de développement, Jean-Marc Lespade surfe sur une dynamique économique et industrielle sans précédent. La semaine dernière, il posait la première pierre de la médiathèque. En attendant, un autre coup de truelle plus important encore : celui du chantier du futur laminoir du groupe italien Beltram. Lequel doit investir ici près de 50 millions d'euros dans la construction d'une usine de traitement de l'acier. Le permis de construire pour ce site de 18 000 mètres carrés, qui devrait accueillir une centaine d'emplois, est délivré, et l'enquête publique est bouclée. Ne manque plus que le feu vert du préfet, ce qui ne devrait plus tarder. « Nous avons franchi une nouvelle étape, indique Jean-Marc Lespade. Ce projet est un symbole. Je défends l'idée d'un développement industriel qui crée de l'emploi et qui soit, en même temps, respectueux de l'environnement. »

Le maire de Tarnos a donc tout pour être heureux surtout qu'un autre industriel de l'acier, les Catalans de Celsa, pourrait lui aussi s'implanter sur sa commune avec là un investissement record de 300 millions d'euros. Difficile d'entamer d'une meilleure manière un mandat. D'autant plus que si Jean-Marc Lespade risque de passer grand maître en pose de premières pierres, il pourrait aussi briller dans une autre spécialité, tout aussi minérale : le jeté de pavé dans la mare.

« Ça n'a pas de sens »

Au sein du Conseil municipal de Tarnos, la réflexion de Jean-Marc Lespade pose question. À droite bien sûr mais aussi au sein des élus socialistes de sa majorité comme l'explique Élie Marciano du groupe PS : « Pour nous, ce referendum ne sert pas à grand chose, dans la mesure où ce n'est pas à Tarnos de prendre la décision mais à la Communauté de communes du Seignanx d'intégrer ou pas la CABAB. Mais pour nous, intégrer la CABAB serait néfaste pour 3 raisons . Primo, la CABAB est fortement endettée donc aller se mettre dans des problèmes financiers alors que nous n'en avons pas et que Tarnos est plutôt riche, n'a pas de sens. Secundo, la CABAB a besoin de terrains pour développer les entreprises, car elle n'a plus de place. Les élus de la CABAB veulent se servir du Seignanx pour, à la fois, récupérer des finances importantes, compte tenu de leur endettement important et obtenir des terrains dont ils bénéficieront eux, dans le cadre de la TPU. Et enfin comment ne pas accepter la TPU dans le Seignanx et vouloir intégrer la CABAB qui a la TPU? »

Pour Gérard Claverie d'Horizon Libre, le problème est ailleurs : « Pourquoi tout d'un coup le maire de Tarnos refuse-t-il de partager le gâteau ? Parce que Tarnos va perdre de l'argent ? Ce n'est pas la vraie raison, assure Gérard Claverie. Le maire a été candidat à la présidence de la Communauté des communes du Seignanx. Il n'était pas question à ce moment-là de se tourner vers la CABAB. Ce projet ne faisait pas partie du contrat lors des élections municipales non plus. Alors ? Faut-il voir dans ce revirement soudain une vengeance politique ? Rappelons que le PC a perdu le siège de conseiller général du canton et la présidence de la communauté au profit des socialistes. Socialistes majoritaires dans le Seignanx, rappelons-le. Là, se trouve le noeud du problème. »



Auteur : jefferson desport

. DOCUMENT 1

 

. DOCUMENT 2


 

 

Partager cet article
Repost0
18 mars 2017 6 18 /03 /mars /2017 10:45

Mercredi 18 Mars 2009 - Sud ouest

 

 


 

Jean-Louis Carrère, Jean-Pierre Dufau, Lionel Causse, Jean-Marc Larre et la représentante du préfet des Landes ont assisté à la pose de la première pierre le 13 mars. (photo A. A.)
Jean-Louis Carrère, Jean-Pierre Dufau, Lionel Causse, Jean-Marc Larre et la représentante du préfet des Landes ont assisté à la pose de la première pierre le 13 mars. (photo A. A.)

Jean-Marc Lespade a scellé la première pierre de la médiathèque du Seignanx à Tarnos, vendredi 13 mars à 11 heures, en présence d'élus et de personnalités locales dont Jean-Louis Carrère, sénateur et conseiller régional, Jean-Pierre Dufau, député-maire de Capbreton, Lionel Causse, conseiller général du Seignanx et Jean-Marc Larre, président de la Communauté de commune du Seignanx.

La construction de la médiathèque fait partie de la programmation pluriannuelle des investissements prévus par la commune de Tarnos. Il aura fallu six ans de patience et de ténacité pour mener à bien ce projet ambitieux, cher aux Tarnosiens, classé en deuxième position, derrière la piscine, des besoins prioritaires établis lors des assises du cadre de vie en 2003.

Sur deux niveaux

Le montant des travaux s'élève à 4,9 millions d'euros HT pour le bâtiment plus 1 million d'euros pour le mobilier, l'informatique, les collections etc. Financés à hauteur de 4,7 millions par la commune, 690 000 euros par l'État, 228 000 euros par la région Aquitaine, 228 000 euros par le Conseil général des Landes, ces deux derniers partenaires pouvant octroyer une subvention supplémentaire de l'ordre de 10 %. Le premier magistrat de la commune estimant que c'est grâce à une gestion saine et rigoureuse des deniers de la commune que ce projet pourra être mené à terme, d'autre ville telle celle de Saint-Jean-de-Luz ou celle Pau ayant abandonné le leur.

Signée par les architectes du cabinet bordelais Brochet-Lajus-Pueyo, cette nouvelle médiathèque prend place dans le centre-ville de Tarnos, le long de la RN 810 à proximité de l'hôtel de ville et de l'école Daniel-Poueymidou.

D'une surface d'environ 1 500 m2 dont 1 170 m2 ouvert au public sur deux niveaux, elle comprendra de belles surfaces vitrées, le projet privilégie lumière, transparence et végétalisassions des ouvrages (le parking enterré et l'extension du jardin actuel formant la toiture de la médiathèque, conformément aux voeux de Mlle Noguié qui avait cédé le terrain à la commune au début des années 70 avec l'exigence qu'il demeure un jardin public).

La qualité architecturale du bâtiment sera prolongée par le projet retenu, dans le cadre du 1 % artistique, de Jean-Dominique Fleury, vitrailliste et Dominique Bremech, éclairagiste avec « les vitraux de lune » qui seront installés au-dessus des puits de jour du toit de la médiathèque.

Cette nouvelle réalisation, qui devrait être livrée en décembre 2009 avec ouverture au public prévue pour le premier trimestre 2010, offrira environ 30 000 livres, 4 500 CD, 1 200 DVD, 450 partitions 70 abonnements répartis sur 7 pôles documentaires (sciences et techniques, musique, information et vie citoyenne, société, enfance...) aux 1 600 Tarnosiens déjà inscrits à l'actuelle bibliothèque et plus largement aux habitants du Seignanx.

20 postes informatiques

L'accès aux technologies de l'information et de la communication (20 postes informatiques à disposition des usagers) ne sera pas en reste dans ce projet centré sur l'insertion sociale, la citoyenneté et le renforcement des liens entre les générations.

Avec ce projet de médiathèque, la commune se dote d'un équipement structurant en matière de lecture publique au rayonnement important dans le sud des Landes, qui s'inscrit dans la politique culturelle que développe la commune. Jean-Marc Lespade clôturant son discours en citant André Malraux, dont on fête le 50e anniversaire de la création du ministère de la Culture, « La culture ne s'hérite pas, elle se conquiert ».

Auteur : Alain Darras

Partager cet article
Repost0
14 mars 2017 2 14 /03 /mars /2017 09:27

L’aménagement des rythmes scolaires (ARS) fait figure dans le domaine scolaire d’un "marronnier ". Depuis plus de 20 ans, ce sujet fait réfléchir ou agace les acteurs de la vie scolaire.

Notre commune a depuis plusieurs années retenue la semaine scolaire répartie sur 4 jours, ce qui a le mérite de contenter le plus grand nombre.

En 2003/2005, une réflexion sur le temps de l'enfant a abouti à une Etude présentée en septembre 2004 et le résultat de cette dernière, confirmait que le système actuel était approuvé par 80 % des parents d'élèves.

Il paraît donc impossible d’ignorer une telle demande ! Mais les responsables de l’Education ont manifesté encore une fois une volonté de changement et une nouvelle réflexion sur le temps scolaire a été mise en place.

Nous saluons le travail qui a été fait par les services municipaux chargés de l'éducation lors de cette première étude. Nous sommes un peu moins enthousiastes pour cette nouvelle étude qui elle est confiée à un cabinet extérieur et qui forcément sera imputée sur notre budget et pour quel résultat ?? Remettre en place l'école le mercredi matin ?

La sociologie a beaucoup changé et la demande familiale devient impérieuse en faveur d'un rythme scolaire qui respecte le temps de l’enfant et de la famille, qu’elle soit traditionnelle, monoparentale, éclatée et ou recomposée. Au-delà de toutes contraintes économiques la vision de la famille se pose d’une manière nouvelle : c’est une entité  à ne pas dissocier de celle de parents d’élèves. Le passage aux 35 heures tend à renforcer cette idée, plus de 80% des parents souhaitent bénéficier de leur temps libéré pour le consacrer à leurs enfants.

L'école le mercredi matin pénaliserait les familles pour lesquelles les centres de loisirs du mercredi (de 7 heures 30  à 18 heures 30) sont un mode de garde.


Les écoles n’étant pas "centre de loisirs ", les parents devraient récupérer leurs enfants à midi.


Certains écoliers pratiquant des activités extra scolaires, (sport, musique, dessin, cathéchisme, etc...), se verraient privés de cette possibilité.

Le Centre de Loisirs, ainsi que les activités sportives et culturelles, qui intéressent le tissu associatif subventionné par la municipalité, seraient donc mises à mal !

De plus, cette option correspondrait à un désengagement de la ville ce qui serait un recul considérable de l’implication politique de la commune dans le domaine de l’enfance et de la famille !!!

 

TELECHARGER DOCUMENTS  ETUDE 2003/ 2005

. SYNTHESE RÉFLEXION DU GROUPE DE TRAVAIL : AMÉNAGEMENT DU TEMPS DE L’ENFANT

. SYNTHESE DEBAT

. PRESENTATION ETUDE

 

=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:=:

 

Tout compte fait, Darcos est pour la semaine de 4 jours et demi

Alors que la majorité des écoles sont passées à 4 jours cette année sous l'impulsion du ministre, ce dernier ne voit «aucun inconvénient» au retour du mercredi matin.

La semaine de 4 jours, éternel sujet de débat dans le milieu enseignant, revient sur la table. Et c'est Xavier Darcos lui-même qui remet le couvert.

Alors que la semaine de quatre jours vient d'être généralisée (non sans protestations) sous son impulsion, le ministre de l'Education nationale a déclaré ce matin qu'il ne voyait «aucun inconvénient» à ce que les écoles primaires repassent à un rythme de 4 jours et demi par semaine, avec 3 heures de cours le mercredi matin, ainsi que le demande la FCPE (parents d'élèves).

«J'y vois même beaucoup d'avantages», a déclaré Darcos à la presse à l'issue du Conseil des ministres. «Je rappelle que j'ai laissé le choix aux conseils d'école de choisir soit quatre jours, soit quatre jours et demi. Dans le conseil d'école, vous avez les parents, vous avez les enseignants et vous avez les élus, et notamment les fédérations de parents d'élèves dont la FCPE.»

«Je le répète, ce n'est pas moi qui ait choisi (...) ce sont les conseils d'école qui ont majoritairement choisi la semaine des quatre jours», a-t-il insisté...... (Libé du 4/2/2009)

 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------


ATTENTION de ne pas confondre ECOLE et GARDERIE ! N'allons pas dans le sens des directives nationales : Les professeurs des écoles doivent enseigner aux élèves et non assurer un service de garderie de complaisance. Le système scolaire français est une catastrophe et est en train de devenir une parfaite fabrique à crétin. Les futures générations scolarisées doivent être dociles et incultes, travailler et payer des impôts sans en comprendre le fonctionnement. Les acquis doivent se résumer à l'apprentissage du minimum vital national : savoir orthographier A.N.P.E., R.M.I et tout comme le ministre de l'éducation ne pas savoir faire une règle de trois. Au vu de la décrépitude du niveau scolaire ces dernières années aucun espoir amélioratif ne doit être attendu. A qui profite la manipulation ? Pour développer une économie nationale qui profite aux grandes familles industrielles il faut des travailleurs dociles,  contenus et en bonne santé. Tout ceci doit être ancré dès le plus jeune âge. IL EST URGENT DE CHANGER TOUT LE SYSTEME d'éducation pour permettre aux professeurs de reprendre l'éducation en main et d'enseigner le libre arbitre et la connaissance à nos enfants.

 

 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------


 

 

Partager cet article
Repost0
6 février 2017 1 06 /02 /février /2017 22:00


Chez les journalistes, comme dans tous les domaines d'activité, il y a les bons et les moins bons. Un bon journaliste se prévaut d'une formation (qu'elle soit scolaire ou acquise sur le terrain), suit un " cahier des charges" avant de livrer son information (fiabilité de ses sources, mise en contexte(s), recherches complémentaires, objectivité ou subjectivité clairement annoncée et assumée, explication, etc...),

Dans la semaine du pays basque nous avons pu lire page 10 (cliquez ici) un magnifique article, 
sur la TPU (TAXE PROFESSIONNELLE UNIQUE), écrit par un pseudo-journaliste médiocre, avec un parti pris évident !!

Des propos recueillis auprès des Elus socialistes du seignanx apparaissent dans la rubrique"ce qu'en pensent les élus" (cliquez ici)

- Mr ROBLES ne reconnaît pas les propos qui lui sont attribués et estime qu'ils ont été tronqués et que la phrase a été sortie de son contexte.
Dans la phrase il précisait que l'étude avait montré que TARNOS perdrait 2,3 millions d'euros sur 5 ans (il répondait à une question du correspondant) mais que cette étude enfermée dans le cahier des charges avait été faite à minima sans tenir compte du projet, ni du transfert de charges...


- L'opinion du Maire d'Ondres a si peu d'importance que l'on n'a pas pris la peine de l'interviewer, on a trouvé plus utile de reprendre une partie d'un de ses anciens commentaires et de la sortir de son contexte !

- Quand à l'engagement de publier le communiqué des élus socialistes tarnosiens balayé par la tempête! (cliquez ici)


VOICI QUELQUES REGLES PRATIQUES QUI FORMENT LA MORALE PUBLIQUE DES JOURNALISTES :


 1 – IMPARTIAL TU SERAS :

 C'est un effort constant que l'on doit faire pour se détacher de ce qu'on écrit. les journalistes doivent s’efforcer de ne pas manifester dans le rapport des faits leurs propres opinions et préférences personnelles

 
2 – RELATER OBJECTIVEMENT TU FERAS :

 Le rôle d'un journaliste est de découvrir et de rapporter les différents points de vue de personnes impliquées dans une situation donnée. Il doit rester neutre autant que possible. Il s'en tient à ce qui est dit et le retranscrit sans le déformer. Toujours se souvenir que la personne interviewée en sait plus que toi sur la question.


3 – TES INFOS TU VERIFIERAS :

 On n'écrit pas n'importe quoi! Règle de base: la vérification de l'information. Ne pas se contenter d'une seule source d'information. Avant d'écrire, le journaliste recoupe plusieurs sources afin d'être sur que ce qu'il écrit est correct.


4 – TON LECTEUR TU RESPECTERAS :


Les faits seront restitués dans leur contexte, et la vérité tu respecteras.


5 – RESPONSABLE DE TES ECRITS TU SERAS :

Tous les journalistes sont responsables de leurs écrits. Tu ne peux pas rédiger n'importe quoi. En vrai professionnel, tu veilleras à ne pas provoquer, insulter, prendre parti, ou faire du tort à qui que ce soit.


 6 – EN BON PROFESSIONNEL TU EXERCERAS :

Les journalistes doivent s’efforcer, quand ils rendent compte d’un conflit, d’une controverse ou d’une affaire, de donner la parole à l’ensemble des points de vue qui s’affrontent.


7 - LE DROIT DE REPONSE TU DONNERAS :

Honnête tu resteras,  la liberté d'expression tu respecteras


8- LORS DE MANIFESTATIONS PUBLIQUES L'ORATEUR TU NE PERTUBERAS :


 Ton portable tu éteindras, sans voix la CUCARACHA restera 



   

Partager cet article
Repost0
3 février 2017 5 03 /02 /février /2017 10:43


Lors des réunions publiques concernant la réhabilitation de CASTILLON et PISSOT les tarnosiens ont exprimés leurs doutes concernant le début des travaux, et regrettent le manque d'entretien puisque cela fait pour certains entre 10 et 15 ans qu'ils espèrent et attendent !


Mr Communal (OPHLM) s'est engagé en affirmant que les travaux débuteront fin Mars. Mr le Maire se sentant très concerné par ce dossier qu'il suit depuis des années y veillera probablement.

 

Malgré cette affirmation les locataires quant à eux restent très dubitatifs :

Depuis leur création les bâtiments concernés (Castillons et PISSOT) n'ont pas été entretenus.


Sur Castillons, les radiateurs électriques se décrochent des murs, les balcons sont tellement détériorés que certains locataires ont depuis plusieurs années l'interdiction formelle  d'y mettre les pieds pour cause d'insécurité !!!!!!!!!!!


A Pissot ils ont exprimés leur mécontentement sur le gaspillage d'énergie dû au mauvais fonctionnement des radiateurs et des chaudières, gaspillage d'argent également, car ceux-ci, obligés de mettre le chauffage à fond, ont l'impression de jeter l'argent par les fenêtres !!!


Notre conseiller Général Lionel CAUSSE très sensible à cet état de fait nous annonce que le Conseil Général des Landes s'est prononcé sur les demandes déposées par l'OPHDL concernant la commune de tarnos et participera au financement des travaux à hauteur d'un montant de 450 000 Euros, soit :

  • Réhabilitation de 87 logement « Le Pissot » ; intervention du Conseil Général : 100 000 €

  • Réhabilitation de 50 logements « castillons 3  ; intervention du Conseil Général : 350 000 €


Concernant la construction de 12 logements sociaux : intervention du Conseil Général : 30 400 €

 

 

Partager cet article
Repost0